Bienvenue sur le site de Zakhor Pour la Mémoire - Manifestations
Le Samedi 15 Octobre 2016 a été organisé par notre Association Zakhor Pour La Mémoire un dîner sous la Présidence de Son Excellence Louis Jaspers, Ambassadeur Honoraire de Belgique, afin d'accueillir la Délégation Belge de l'Association pour la Mémoire de la Shoah de Bruxelles qui participait à notre colloque Franco-Belge. Ce fut un moment très agréable pour chacun de nous retrouver chez notre partenaire au restaurant "Le Vienne" à Perpignan. Nous avons été très heureux que notre Vice-Président National, Monsieur Laurent Coronas et son épouse, puissent être à nos côtés pour participer à cette soirée.
En ce Samedi 15 Octobre 2016, une cérémonie officielle a eu lieu au Rond-point Arno Klarsfeld au Barcarès en présence de Monsieur Eric Picard, Président de l’Association Pour la Mémoire de la Shoah de Bruxelles, dirigeant la Délégation Belge dans le cadre du colloque avec l’Association Zakhor Pour la Mémoire ce week-end. Alors, Philippe Benguigui, Président de l’Association Zakhor Pour la Mémoire, a rappelé l’historique de ce lieu de mémoire et la genèse du projet de dédier ce rond-point à Monsieur Arno KLARSFELD, père de Serge Klarsfeld, engagé volontaire pour combattre le nazisme. Incorporé le 14 novembre 1939 au 22e Régiment de Marche de Volontaires Etrangers constitué au camp militaire de la plage du Lido, il fut cité à l’Ordre de l’Armée lors de la bataille de la Somme. Fait prisonnier le 6 juin 1940, Arno Klarsfeld parvint à s’évader et fut démobilisé à Montpellier le 29 mars 1941. Arrêté par les nazis, Arno Klarsfeld fut déporté le 28 octobre 1943 au camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau où il périt aux côtés de plus d’un million de victimes, dont 90% étaient des Juifs. C’est avec émotion que la municipalité et son Maire Monsieur Alain Ferrand ont accueilli 77 ans plus tard, son fils, Maître Serge Klarsfeld, ainsi que toute sa famille, qui mènent depuis lors un combat inlassable pour traquer, faire juger et condamner les criminels nazis et aussi pour que soit transmise la mémoire de la Shoah. L’inauguration de ce Rond-point, au cœur de la station du Barcarès, a eu lieu le dimanche 19 Juin 2016. Elle se déroula en présence de toute la famille de Maître Serge Klarsfeld. Remercions toutes les personnalités présentes et, tout particulièrement, Monsieur Alain Ferrand, Maire du Barcarès, pour avoir favorisé la réalisation de ce Lieu de Mémoire et veillé à l’organisation de cette belle cérémonie.
Ce samedi 15 Octobre 2016 a été organisé à 17h30, une cérémonie commémorative officielle aux stèles du Camp Joffre de Rivesaltes en présence de la Délégation Belge de l'Association Pour la Mémoire de la Shoah et de ces membres. Alors, Philippe Benguigui accueillit cette délégation dont certains membres avaient été internés dans ce Camp de Rivesaltes. Mais avant de débuter cette cérémonie, Philippe Benguigui a tenu à remercier Son Excellence Louis Jaspers, Ambassadeur Honoraire de Belgique, et son futur remplaçant, Monsieur Charpentier, d'avoir accepté de présider cette commémoration. Est aussi à saluer la présence du Colonel Christophe Corréa, Délégué Militaire Départemental des Pyrénées-Orientales, du représentant du Maire de Rivesaltes, et le soutien de Monsieur Amar Méniker, Président des Harkis des Pyrénées-Orientales. Ainsi Philippe Benguigui a pu, au cours de son discours, faire un rappel historique de ce que fut le Camp de Rivesaltes qui, en 1939, dès la mobilisation, fut utilisé comme camp de transit pour les militaires en attente d’affectation. Puis, le 10 décembre 1940, les autorités militaires mettent à disposition 600 hectares au sud de ce camp afin de regrouper les personnes expulsées d’Allemagne. La partie militaire du camp fonctionnera alors parallèlement aux camps civils de rétention qui fut officiellement ouvert comme tel le 14 janvier 1941. Il s'ensuivit que le camp de Rivesaltes passa sous le contrôle des autorités civiles du régime de Vichy. Il était ainsi affecté au regroupement familial d'Espagnols, de Juifs. de Tziganes. Des dits "indigents et opposants politiques", "étrangers ennemis, indésirables ou suspects pour la sécurité nationale et l'ordre public", y furent également détenus. D'une capacité de 18 000 personnes, le camp accueillit 21 000 détenus entre 1941 et 1942. Il fut fermé le 22 novembre 1942. Alors même qu'y étaient conduits les premiers internés, le statut du camp et des hommes qui y étaient retenus n'était pas clairement fixé. Il fut décidé qu’il s’agissait d’un « centre d’hébergement » pour familles. D’abord envisagé pour un maximum de 17 000 « hébergés », il était composé de 150 grandes baraques d’habitation, soit une contenance de 10 000 personnes. La particularité du lieu consista à avoir fait le choix, non pas de regrouper des familles, mais de les séparer. Il y avait ainsi des baraques pour les hommes, d’autres pour les femmes et les enfants (les garçons passaient d’un camp à l’autre à 14 ans). Au 31 mai 1941, le camp comptait 6 475 internés de 16 nationalités ; plus de la moitié (55 %) étaient Espagnols, les Juifs étrangers représentaient plus du tiers. Des Gitans furent aussi internés - bien que de nationalité française - dans ce camp pour étrangers. Le 26 août 1942, à cinq heures du matin, commencèrent les opérations de rafle des Juifs étrangers de la zone Sud et leur regroupement au Centre national de rassemblement des Israélites de Rivesaltes. Ce dernier est installé aux îlots J (femmes et enfants), F (hommes, antérieurement dédié aux travailleurs) et K (réception, criblage et triage). Il était prévu pour un effectif de 10 000 internés composé de familles et pour une durée de 15 jours. Y sont d’abord regroupés les 1 176 Juifs déjà au centre - dit le « Drancy de la zone libre » par Serge Klarsfeld. En effet, l'éminent historien de la déportation et de la Shoa nota que du 4 septembre au 22 octobre, le camp de Rivesaltes a joué le rôle de « Drancy de la zone libre ». Car il est indéniable qu'il a été le camp de rassemblement de tous les Juifs arrêtés dans la zone libre afin que, de là, ils soient conduits au camp de Drancy. Selon Gérard Gobitz, les convois depuis le Camp de Rivesaltes vers celui de Drancy représentèrent un total de 1 771 à 1 778 personnes déportées, dont 78 enfants. Selon les calculs de l'historienne Anne Boitel, 2 313 auraient été déportés vers Drancy, et 2251 auraient été exclus des convois par les services administratifs. Il fut mis fin à l'abominable fonctionnement de ce pseudo "centre d’hébergement" le 25 novembre 1942. À cette date, il comptait 277 membres du personnel. Durant deux années, le camp de Rivesaltes aura interné environ 21 000 personnes, dont environ 5 714 au camp spécial : 2 313 ont rejoint Drancy, 2 251 ont été exclues par la commission de criblage. Sur le site sont décédés 215 internés, dont 51 enfants d'un an et moins.
Philippe Benguigui a donné une conférence ce Samedi 15 Octobre 2016 au Mas de l’Ile, au Barcarès, sur la thématique de la création du projet du Mémorial du Camp de Rivesaltes. En effet, son engagement au côté de Maître Serge Klarsfeld dès 1992 a été essentiel dans la mise en œuvre d’une telle entreprise. Car, tout d'abord, il fallut convaincre les institutions d'accomplir ce travail de mémoire pour rendre l’hommage nécessaire à toutes les communautés victimes de l’internement en ce lieu de souffrance. Philippe Benguigui s'engagea donc à convaincre très largement. Certes, Philippe Benguigui fit beaucoup plus. Durant 1H30 environ, il expliqua son parcours de vie qu'il dédia à ce projet, depuis plus de 25 ans déjà, avec une détermination sans faille, pour qu'il puisse aujourd’hui être une réalité. C'est ainsi que nos amis de la Délégation de l'Association pour la Mémoire de la Shoah de Bruxelles de comprendre l'importance du travail accompli par Philippe Benguigui, Président de l'Association Zakhor Pour la Mémoire et Délégué Régional de l'Association des Fils et Filles des Déportés Juifs de France. Remercions Monsieur Loïc Tomissi, Conseiller Municipal du Barcarès en charge du Monde Combattant, Monsieur Eric Picard, Président de l'Association Pour la Mémoire de la Shoah de Belgique, Monsieur Amar Méniker, Président du Collectif Générations Harkis Mémoire et Vérité.
Dans le Cadre de nos différentes actions sur la Mémoire de la Shoah, nous recevons la Délégation Belge de l'Association Pour la Mémoire de la Shoah de Bruxelles. Nous avons accompagné les membres de la Délégation au Mémorial de Walter Benjamin à Port Bou que nous leur avons fait découvrir. Walter Benjamin, éminent philosophe juif allemand, décide de quitter l'Allemagne. Alors qu'en mai 1940 la France de Vichy vient de signer un armistice avec le Troisième Reich, il se dirige vers le sud en zone libre pour s’enfuir aux États-Unis. C'est après être passé par Lourdes qu'il se rend à Marseille où il arriva en septembre. Il y rejoint ses amis Hannah Arendt, Arthur Koestler et Hans Fittko. Mais il n’était plus possible de partir de Marseille vers l’Amérique. Hans Fittko lui propose de rejoindre sa sœur à Port-Vendres, dans le sud de la France. Le plan étant d'aller au Portugal pour s'y embarger pour le Nouveau Monde. Benjamin accepte le projet. Ils partent en train, accompagnés par le photographe Henny Gurland (qui plus tard, aux États-Unis, se marriera avec Erich Fromm) et son fils, Joseph. A Port-Vendres, Lisa Fittko est responsable de la conduite des exiliés de Banyuls à Port-Bou à travers un parcours difficile. Walter Benjamin, malade du coeur, ne peut se déplacer sans devoir faire des pauses toutes les 10 minutes. Finalement, il atteint le sommet de la dernière montagne où il peut admirer Port-Bou et la mer. Lisa Fittko nota : "Enfin, nous avons atteint le sommet. Je me suis arrêtée pour regarder. Ce que j’ai vu m’a frappé à la suite d’une sorte d’hallucination. D’une façon inattendue je reviens à voir la mer de nouveau, d’un bleu foncé. Et là-bas, Port-Bou. A partir de là, ce ne sera plus que descente." Lisa Fittko laisse les fugitifs et retourne au point de départ où elle continua de conduire d'autres exilés. Benjamin et ses deux compagnons s’adressèrent au poste de police à Port-Bou, ville frontalière avec l'Espagne où demeurent les traces évidentes de la guerre civile qui avait qui s'acheva à peine un an plus tôt. Or la police espagnole refuse l’entrée sur le territoire espagnol à Walter Benjamin et ses compagnons de voyage en leur annonçant qu’ils seront remis aux autorités françaises. Dans cette attente, Walter Benjamin doit demeurer à l’Auberge France - maintenant fermée. Il passe la nuit dans la chambre numéro 3. Après avoir effectué une série d’appels téléphoniques, il prend une forte dose de morphine (qu'il s'était procurée à Marseille). Son corps sans vie est retrouvé le lendemain matin dans son lit. Il est mort à l'âge de 48 ans. Walter Benjamin a passé un peu plus de 12 heures de sa vie dans la ville de Port-Bou, mais la marque qu’il a laissé y reste indélébile. S'y dresse aujourd'hui un admirable monument à la mémoire de Walter Benjamin depuis lequel est visible la Méditerranée. Ce superbe Mémorial a été réalisé par le célébre artiste israélien Karavan. Que soient chaleureusement remerciés nos adminsitrateurs, dont Hannah Atlan, et notre grand journaliste John Photo pour avoir accompagnés la Délégation Belge sur ce haut lieu de mémoire.
La Délégation de l'Association de la Mémoire de la Shoah de Bruxelles a souhaité se rendre au cimetière des Républicains espagnols et des Juifs du Camp d'Argelès-Sur-Mer pour leur rendre hommage. En 1939, Argelès-sur-Mer a accueilli 200 000 Républicains espagnols fuyant le fascisme. De nombreux Juifs étrangers désireux de fuir le Nazisme y furent aussi retenus. En effet, dès février 1939, plus de 450 000 Républicains franchissent la frontière franco-espagnole suite à la chute de la Seconde République espagnole et à la victoire du général Franco. Ce dramatique événement historique est plus connu sous le nom de « Retirada ». Le gouvernement français choisit la plage d’Argelès-sur-Mer pour « accueillir » tous les réfugiés espagnols. Un camp d’internement est ouvert à la hâte. Plus de 200 000 Républicains y séjourneront dans des conditions d'une extrême pénibilité avant d’être transférés dans les camps de Saint-Cyprien, du Barcarès, de Bram et du Vernet. Il reprendra du service en septembre 1939, à la déclaration de la Seconde Guerre mondiale. Les autorités y regrouperont alors les « étrangers indésirables ». C'est à ce titre, à partir de 1940, que des familles juives et tziganes y seront internées. Le camp fermera définitivement en septembre 1941. Il sera alors transformé en Chantier de Jeunesse. Dès l’ouverture du camp en février 1939, furent enregistrés de nombreux décès dans l’enceinte du camp. Suite à un appel de la Municipalité, un propriétaire met à disposition de la mairie un terrain pour en faire le cimetière du camp. Celui-ci sera détruit par les terribles inondations de 1940. Aujourd’hui, une stèle marque le centre de l’ancien site. Ce monument est un don fait dans les années 1950 par une famille juive, en souvenir d’un des leurs disparus. Y furent gravés les noms de celles et ceux qui décédèrent durant leur internement dans le camp. Des noms manquaient sur ce monument. Ils furent ajoutés en 2007. Aujourd’hui, ce cimetière permet aux familles, enfants et petits-enfants des internés du camp de Rivesaltes, de se recueillir. Toujours au cœur du cimetière, un Arbre aux Enfants est dédié aux 70 jeunes de moins de 10 ans décédés dans le camp.
La délégation Belge de l'Association de la Mémoire de la Shoah de Bruxelles a pu visiter ce haut lieu de la Mémoire de la Shoah ce week-end. Bien que la Maternité d'Elne apparaisse comme un havre de paix, elle est surtout un lieu chargé d’émotions qui reste porteur d’espoir, de solidarité et d’humanité. Classée Monument Historique depuis 2013, la Maternité Suisse est aujourd’hui un vif témoignage de l’entraide, du dévouement et de la détermination de jeunes volontaires d’associations humanitaires au moment où, en février 1939, eut lieu la Retirada au cours de laquelle près d’un demi-million d’espagnols et de catalans quittèrent leur pays pour chercher réfuge, en catastrophe, dans le département des Pyrénées-Orientales. Alors que le danger était permanent à cette période charnière de l’histoire, le courage de quelques personnes a permis de sauver de nombreuses vies. Face à cette tragédie, la Commune d’Elne et ses habitants ont eu un rôle capital. Car c'est ici, à Elne, au château d’En Bardou, qu’une jeune femme, Elisabeth Eidenbenz, mènera un combat acharné dans le but de sauver un maximum de personnes. Volontaire au sein de l’association du Secours Suisse aux Enfants d’Espagne, elle permit l’ouverture de la Maternité Suisse d’Elne, en décembre 1939, dont elle sera la directrice jusqu’en avril 1944, date à laquelle cet îlot de paix a dû fermer. Grâce à sa persévérance, près de 600 enfants d’une dizaine de nationalités différentes ont vu le jour au sein de cette maternité et un millier de femmes et autant d’enfants y furent accueillis. La grande majorité de ces personnes était internée dans les camps d’Argelès, de Saint-Cyprien et de Rivesaltes, dans des conditions insoutenables. Cette marternité à permis de sauver de nombreuses femmes juives enceintes et leurs enfants en permettant de les isoler du Camp de Rivesaltes. L'exposition permanente : « La Maternité Suisse d’Elne : un berceau d’humanité au cœur de l’inhumain » que vous pouvez retrouver dans l’ancienne salle à manger de la Maternité, retrace cette histoire.
L'ASSOCIATION POUR LA MÉMOIRE DE LA SHOAH DE BELGIQUE ET L'ASSOCIATION ZAKHOR POUR LA MEMOIRE ORGANISENT DU SAMEDI 15 OCTOBRE 2016 AU MARDI 18 OCTOBRE 2016 UN VOYAGE DE MÉMOIRE AU CAMP DU BARCARES, DE RIVESALTES ET EN CATALOGNE EN ACCUEILLANT UNE DELEGATION BELGE EN ROUSSILLON
Ce voyage de mémoire au Barcarès, à Rivesaltes et en Catalogne est organisé par l'Association pour la Mémoire de la Shoah de Belgique avec le Concours de l'Association Zakhor Pour la Mémoire, du 15 au 18 octobre 2016. De nombreux Juifs de Belgique ont été détenus par les autorités françaises au camp "de concentration" de Rivesaltes. En octobre 2015, un Musée-Mémorial y a été inauguré. Il présente les différentes périodes d'utilisation du camp, parmi lesquelles celle de l'internement des Juifs étrangers puis de leur déportation vers Auschwitz via Drancy. Prix: 420€ par personne - 370€ pour les membres de l'AMS - Réduction de 75€ par personne en chambre double. Inscription: verser le montant correspondant sur le compte BE75 0688 9657 3451 avec mention "Inscription voyage Rivesaltes + nom" et envoyer un mail à
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pour signaler votre inscription. Une confirmation vous sera alors adressée. Ce prix comprend les trajets en bus à partir de l'aéroport de Rivesaltes, les 3 nuitées à l'hôtel avec petits déjeuners, les entrées et les guides. Il ne comprend pas les repas de midi et du soir ni le trajet jusqu'à Rivesaltes, à réserver individuellement.Ryanair assure une liaison depuis Charleroi: départ le samedi 15 octobre à 10 heures 15; retour de Rivesaltes le mardi 18 octobre à 12 heures 25. Nous recommandons de réserver votre trajet au plus tôt afin de bénéficier du meilleur tarif. Le groupe sera limité au maximum à 50 personnes, selon l'ordre chronologique des inscriptions. Pour tous renseignements ou aide à la réservation: contacter Nicole Weismann au 02 347 50 65 le matin du lundi au jeudi à partir du 22 août, ou laisser un message.
Programme:
Samedi 15 octobre 2016 : "Au Début de la Guerre: les Camps des Plages"
10h15: Vol direct au déport de Charleroi
12h00: Arrivée à l'aéroport de Perpignan-Rivesaltes
12h00: Arrivée à l'aéroport de Perpignan-Rivesaltes
Début du Circuit: "Du Barcarés à Rivesaltes"
* Arrivée au Barcarès à 13H00, pause déjeuner puis Conférence à 14H30 de Philippe Benguigui, Président National de l'Association Zakhor pour la Mémoire au Mas de l'Ille, à 16h00 Cérémonie avec Dépôt de gerbe à la Stèle Arno Klarsfeld et Découverte des plages du Camp du Barcarés.
* 17h30 Stèle du Camp de Rivesaltes, Cérémonie avec Dépôt de gerbe devant la stèle de Zakhor Pour la Mémoire et des Fils et Filles des Déportés Juifs de France du Camp de Rivesaltes avec visite partielle du site.
* 17h30 Stèle du Camp de Rivesaltes, Cérémonie avec Dépôt de gerbe devant la stèle de Zakhor Pour la Mémoire et des Fils et Filles des Déportés Juifs de France du Camp de Rivesaltes avec visite partielle du site.
* 19h30 Check in à l'Hotel Mercure à Perpignan.
* 20h30 Dîner en présence de Son Excellence Louis JASPERS, Ambassadeur Honoraire de Belgique et du Président des amitiés Franco-Belge.
* 20h30 Dîner en présence de Son Excellence Louis JASPERS, Ambassadeur Honoraire de Belgique et du Président des amitiés Franco-Belge.
Dimanche 16 octobre 2016 : "Les traces de la Vie Juive en Catalogne"
09h00: Départ en bus vers Port Bou.
* Elne à 09h30 pour la Visite de la Maternité d'Elne, lieu de solidarité internationale
* Argeles Sur Mer à 10h00, Découverte des plages du Camp d'Argeles Sur Mer, du Cimetiére des Déportés et de la visite du Mémorial du Camp d'Argelès
* Argeles Sur Mer à 10h00, Découverte des plages du Camp d'Argeles Sur Mer, du Cimetiére des Déportés et de la visite du Mémorial du Camp d'Argelès
* Visite du Mémorial Walter Benjamin
* Visites guidées des anciens quartiers juifs de Besalu et de Gérone
* Visites guidées des anciens quartiers juifs de Besalu et de Gérone
Lundi 17 octobre 2016 : "Le Camp d'Internement de Rivesaltes"
10h00: Départ en bus vers Rivesaltes, Visite du Mémorial du Camp de Rivesaltes
14h00: Recherches au Archives Départementales et présentation de différents documents sur l'internement
20h00: Dîner à Perpignan avec intervenant
Mardi 18 octobre 2016: "Retour en Belgique"
matinée libre à Perpignan
10h45 : Départ en bus vers l'aéroport
12h25 : Vol Rivesaltes-Charleroi
10h45 : Départ en bus vers l'aéroport
12h25 : Vol Rivesaltes-Charleroi
Ce programme est publié sous réserve... d'améliorations.
INFORMATIONS
OÙ : Perpignan / Rivesaltes
QUAND : Samedi 15 Octobre 2016 - Mardi 18 Octobre 2016
CONTACT : Nicole Weismann 02.347.50.65 - Zakhor Pour la Mémoire 06 68.29.00.00
Zakhor Pour la Mémoire présente à toutes et à tous ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année juive 5777 en espérant qu'elle vous apporte beaucoup de satisfactions et la réalisation de vos projets. Au lendemain de la disparition du Président Shimon Perez, gardons le souvenir de son voeu de paix. Nous souhaitons aussi, à la veille de nos fêtes de Tchiri, que vos noms soient inscrits dans le Livre de la Vie.